Durant les années 90, avec la

mondialisation.

Après la crise financière de 2007–08.

Durant la crise pétrolière des années 70.

Pendant la bulle Internet de la fin des années 90.

Comme naturels et auto-régulés.

Comme uniquement influencés par les politiques

monétaires.

Comme des événements imprévisibles et incontrôlables.

Comme des phénomènes nécessitant

l'intervention de l'État pour être atténués.

Il ne parvient pas à expliquer la stagflation.

Il sous-estime l'importance de l'offre globale.

Il surestime le rôle de la demande globale.

Il encourage trop l'intervention de l'État.

Par des projets d'infrastructure à forte intensité

de main-d'œuvre.

En augmentant les taux d'intérêt.

En réduisant les dépenses publiques.

Une augmentation proportionnelle de la production.

Une diminution immédiate du chômage.

Une réduction de l'inflation.

Un effet multiplicateur sur la production.

Augmenter les taux d'intérêt pour stimuler l'épargne.

Réduire les impôts sur les riches pour encourager

l'investissement.

Augmenter la demande globale par l'intervention de

l'État.

Laisser le marché s'auto-réguler sans intervention.

Les taux d'intérêt

La demande globale

 L'épargne

L'offre globale

Aucun rôle, le marché doit être totalement libre.

Un rôle exclusif, l'État doit contrôler tous les moyens de production.

Un rôle actif dans la stabilisation de l'économie.

Un rôle minimal, se concentrant sur la protection de

la propriété.

Une autre guerre européenne due aux conditions

imposées à l'Allemagne.

L'effondrement économique des États-Unis.

La chute de la livre sterling.

La création de l'Union européenne.

Les perspectives économiques pour nos petits-enfants

La Théorie générale de l’emploi, de l’intérêt et de la

monnaie

Traité sur la monnaie

Les Conséquences économiques de la paix